Alice au pays des merveilles, Lewis Carroll

Publié le par Amandine

DSCN4476-copie-1.JPG Un après-midi où elle était dans le jardin en compagnie de sa sœur Anne, la jeune Alice voit passer un lapin blanc. Curieuse et ravie d’échapper à l’ennui, elle décide de le suivre et se retrouve dans un monde parallèle peuplé d’étranges personnages plus ou moins bienveillants…

 

 

L’histoire d’Alice au pays des merveilles, je la connaissais. Rectification : je pensais la connaître. En effet, en bonne amatrice de Disney, j’avais vu et revu le dessin animé qui fête cette année ces 60 ans et qui fait partie de mes grands favoris. A la lecture de ce classique de Lewis Carroll, alias Charles Lutwidge Dogson, j’ai complètement redécouvert les tribulations d’Alice. Les personnages que l’on retrouve dans le dessin animé n’interviennent pas toujours de la même façon que dans le livre (la scène culte du non anniversaire, par exemple, ne figure pas telle quelle dans l’œuvre originale), d’autres, plus ou moins secondaires, ne sont même pas dans le roman (les jumeaux Tweedle-Dee et Tweedle-Dum, les fleurs, les papillons-brioches…). D’autres enfin interviennent, qui m’étaient complètement étrangers (la Tortue-Façon-Tête-de-Veau, la Duchesse et sa cuisinière…). Après une rapide recherche sur Wikipédia, il semblerait que l’œuvre de Disney ne soit pas basée uniquement sur Alice au pays des merveilles mais également sur De l’autre côté du miroir, que je n’ai pas encore lu. D’où ces personnages qui, de mon point de vue, manquent ou au contraire apparaissent, en plus de ceux que je connaissais via le dessin animé. Côté rythme narratif, dans ce monde de fous, tout va très vite et tout est complètement farfelu. Par contre, quelques parodies de poèmes/comptines de l’époque de Carroll ponctuent les rencontres avec les divers personnages, mais je pense être passée complètement à côté de leur sens, ne connaissant pas les œuvres originales les ayant inspirées.

 

 

Extrait (Chapitre VII - Un thé de fous) 

Une fois de plus elle se trouva dans la longue salle, et près de la petite table de verre. « Bon, cette fois-ci, je vais mieux m’en tirer », se dit-elle, et elle commença par prendre la petite clé d’or et par déverrouiller la porte qui menait au jardin. Puis elle entreprit de grignoter le champignon dont elle avait gardé un morceau dans la poche jusqu’à ce qu’elle eut atteint environ onze pouces(…)

 

L'avis d'Antony c'est ici

Publié dans Romans étrangers

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article